31 Temmuz 2011 Pazar

Trocadero is an island inside the Bay of Cadiz, in the South of Spain, bordering the Spanish mainland. Nowadays, it is connected to Cadiz by the bridge that goes across the bay. Originally, the name trocadero refers to an emporium or place of trade. In the Battle of Trocadero, the fortified position was captured by French forces led by the Duc d'Angoulême, son of the future king, Charles X, on August 31, 1823. France had intervened on behalf of King Ferdinand VII of Spain, whose rule was contested by a liberal rebellion. Trocadero restored the autocratic Spanish Bourbon Ferdinand VII to the throne of Spain, in an action that defined the Restauration. Chateaubriand said "To stride across the lands of Spain at one go, to succeed there, where Bonaparte had failed, to triumph on that same soil where the arms of the fantastic man suffered reverses, to do in six months what he couldn't do in seven years, that was truly prodigious!"[1] Today the square is officially named Place du Trocadéro et du 11 Novembre, although it is usually simply called the Place du Trocadéro. The Trocadéro during the Exposition Universelle of 1900. (Antonio Villalpando, as Cultural Heritage Advisory of Red de Parques Metropolitanos de Andalucia reviewed this article).

11 Temmuz 2011 Pazartesi

Pont d'Iéna

C'est Napoléon Bonaparte qui décida de construire un pont faisant face à l’École militaire, et il lui donna par un décret daté de Varsovie en 1807 le nom de la bataille d’Iéna remportée le 14 octobre 1806, au lieu des noms précédemment envisagés (pont du Champ-de-Mars ou pont de l’École-Militaire).
Sa construction initiale a duré de 1808 à 1814 sous la direction de Corneille Lamandé et Dillon[2]. Lors de l'occupation de la capitale par les troupes prussiennes, le général Blücher, le vaincu de la bataille d'Iéna, voulut le faire sauter, mais Louis XVIII s'y opposa. On débaptisa l'ouvrage qui prit alors le nom de Pont de l'École Militaire et l'on fit disparaître les aigles qui le décoraient. Il retrouvera son nom et ses atours sous Louis-Philippe.
Lors de l'exposition universelle de 1889, il fut bâché.
Durant l'exposition universelle de 1900, il était réservé à l'usage de l'exposition, la circulation de la ville étant détournée vers d'autres voies, et il fut élargi à 24 m à cette occasion par l'adjonction de passerelles métalliques reposant sur les piles originales (Jean Résal et Lion pour le dessin, Daydé & Pillé pour la réalisation). Trop fragiles pour la circulation, elles ne supportaient que des trottoirs élargis. Sur une carte postale de 1906, la chaussée a été rétrécie, et, sur une autre de 1907, les ailes semblent condamnées par des rambardes métalliques. On trouve trace de cet élargissement au moins jusqu'en 1913 (survol par le dirigeable la République).
L'élargissement provisoire semble avoir été détruit dans les années 1920 ou au début des années 1930.[réf. nécessaire]
Le pont fut réélargi ensuite de 19 à 35 m en prévision de l'Exposition universelle de 1937 par l'adjonction de deux éléments de béton de part et d'autre de la structure initiale (chacune des anciennes piles est renforcée par ajout d'une pile en amont et d'une pile en aval).
D'une longueur de 155 m, l'ouvrage présente 5 arches de 28 m en arc de cercle, 4 piles intermédiaires et des tympans sont décorés d’aigles impériaux dessinés par le Lyonnais François-Frédéric Lemot et sculptés par Jean-François Mouret.